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sabato 6 novembre 2010
L'Italia è sempre Italia, e sempre bella
Retraites : mobilisation en "très forte baisse" à la mi-journée, selon l'Intérieur - Social - Nouvelobs.com
Retraites : mobilisation en "très forte baisse" à la mi-journée, selon l'Intérieur - Social - Nouvelobs.com
Les premiers défilés ont rassemblé 142.000 manifestants, selon le ministère, contre 198.000 pour la dernière journée d'action. La CGT parle déjà d'une mobilisation "moindre" mais "sans doute au-delà du million".
Les premiers défilés contre la réforme des retraites ont rassemblé, samedi 6 novembre, quelques 142.000 manifestants en France à la mi-journée, selon le ministère de l'Intérieur.
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Une mobilisation en "très forte baisse" par rapport à la dernière journée de d'action qui avait réuni 198.000 personnes le 28 octobre, note la Place Beauvau. Les manifestants ont défilé dans 132 rassemblements dans l'Hexagone, a précisé la même source.
Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a déclaré avant le départ du cortège à Paris que la participation aux manifestations de ce samedi s'annonçait "moindre" que les précédentes, mais "sans doute au-delà du million". "Pour un mouvement qui était censé être terminé la semaine dernière, je considère que la journée est réussie puisqu'elle témoigne de notre capacité à poursuivre le mouvement", a-t-il ajouté.
"Cette manifestation est un élément comme un autre pour dire qu'on est en désaccord sur les politiques économiques de notre pays", a plaidé de son côté le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque. "Il y aura une nouvelle journée d'action fin novembre et la CFDT y participera", a-t-il ajouté.
Plus critique, le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly parle d'"un certain gâchis dans la conduite du mouvement" aux vues des "dissensions entre les organisations syndicales sur ce qu'on demande en matière de retraite et sur les modalités d'actions".
"Retraites solidaires, emplois, salaires : un enjeu de société"
A Paris, un cortège de plusieurs milliers de personne est parti vers 14h45 de la place de la République pour rejoindre celle de la Nation, derrière une banderole de tête "retraites solidaires, emplois, salaires : un enjeu de société". Le défilé parisien doit être rejoint par un cortège de défenseurs du droit à l'avortement.
Pour cette huitième journée de mobilisation en deux mois contre la réforme des retraites votée par le Parlement, la mobilisation semblait en recul comparé au jeudi 28 octobre et au samedi 16 octobre, au vu des premiers défilés en province.
A Toulouse, entre 13.000 manifestants, selon la police, et 110.000, selon les syndicats, ont défilé samedi matin dès 10h, derrière la banderole unitaire "CGT, FO, CFDT, CFE-CGC, Unsa, CFTC, FSU, Solidaires, Ensemble public-privé, non à ce projet de loi, oui à la retraite à 60 ans à taux plein". Lors de la dernière journée d'action nationale, le 28 octobre, le cortège avait rassemblé entre 15.000 et 120.000 personnes. Le 19 octobre, une manifestation record avait réuni entre 35.000 à 160.000 personnes.
Le "mécontentement persiste"
Jeudi soir à Paris, l'intersyndicale réunie au siège de la CGC pour décider des suites du mouvement a appelé à un "nouveau rendez-vous national de mobilisation dans la semaine du 22 au 26 novembre", dont les "modalités et le contenu seront déterminés" lors d'une nouvelle réunion lundi. L'intersyndicale attend donc avec prudence de voir l'ampleur des manifestations de samedi pour décider, concrètement, de la suite. Et se prépare à passer à autre chose.
Dans leur communiqué commun diffusé à l'issue de la rencontre de jeudi soir, les syndicats annoncent ainsi qu'ils vont "poursuivre le travail commun sur l'emploi, les salaires, le pouvoir d'achat et les conditions de travail" entamé en janvier 2009, lors du lancement des manifestations pour une autre politique économique et sociale face à la crise. Une stratégie rejetée par FO pour qui le dossier des retraites "n'est pas clos et il n'est pas question d'avoir des substitutifs".
Les six premières journées de mobilisation- dont deux organisées un samedi- ont rassemblé à chaque fois des millions de personnes, selon les syndicats, autour d'un million, selon la police. "Tout le monde souhaite que la mobilisation soit forte mais il y a une incertitude", a noté Marcel Grignard (CFDT).
Mais la dernière, le 28 octobre, au lendemain du vote du Parlement et en pleines vacances de la Toussaint, a marqué un net reflux, avec une affluence divisée de moitié, sur fond d'arrêt des grèves, notamment dans les raffineries. "Même si le gouvernement passe en force et promulgue la loi, ce mécontentement persiste", a relevé Jean Grosset (Unsa), mettant en garde contre "des modalités d'action qui ne correspondraient pas à la situation" et risqueraient de provoquer un effondrement de la participation. Dans ce cas, les syndicats "s'infligeraient une défaite".
Fières de leur unité maintenue dans la durée, les confédérations se targuent d'avoir gagné la bataille de l'opinion, puisque tout au long du conflit une majorité de Français les ont appuyées, selon les sondages. "La réforme reste totalement impopulaire et le gouvernement isolé", pour Annick Coupé de Solidaires.
Sur le terrain, quelques actions ponctuelles de blocage persistent. Quant aux lycéens et étudiants, peu mobilisés cette semaine, ils sont appelés par leurs organisations à défiler samedi.
(Nouvelobs.com avec AP et AFP)
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